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Live from New York

Techniquement ça serait plutôt «Live from Montreal» étant donné que je suis déjà rentrée au Canada après une petite escapade d’un weekend a New York.

Etant donné que j’ai beaucoup de mal avec ce sreugneugneu de clavier qwerty, je ne vais pas m’étaler en blabla et je préfére vous montrer quelques photos de notre périple en voiture (avec un arrêt dans une trés jolie ville, Lake Georges Village, un peu au hazard) et quelques photos de New York, en attendant des billets un poil plus construits!

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Bye bye bye

// Photo prise dans l’avion en direction de New York en mars 2007 //

Bravo à celles (et ceux, pardon aux personnes de la gente masculine qui ont attérit, ou plutôt qui se sont crasher par accident sur mon blog tout rôôôse) qui reconnaîtront la magnifique référence de ce titre. Ouais j’ai un peu honte. Euh en fait non même pas.

Et oui les loulous, je suis actuellement dans l’avion au dessus de l’Atlantique, en direction du pays du caribous (mes références culturelles sont nazes, i know) pour des vacances de 10 jours à Montréal, chez ma Flo qui a déserté la France l’année dernière pour aller nous inventer des jeux vidéo de dingue made in Québec.

Je voulais programmer 2-3 articles histoire de pas trop faire mon autiste de blog, mais comme je suis super pas organisée et que j’ai déjà eu du mal à trouver 20 minutes pour aller changer de l’argent à 2 stations de métro de chez moi… Bah il n’y aura pas de billets!

A moins que …

On verra 😉

Bon weekend et bonne semaine… I’ll be back mwahahaha!!

Photographie Voyages

Archive #5

// Cliquez pour agrandir l’image //

Les récents billets du voyage à Barcelone de Mariga(z) m’ont donné envie de me plonger dans mes photos faites là bas, lorsque j’y ai séjourné pour une long weekend, en Mars 2008. Celle ci est de loin ma préférée, parce que je trouve qu’elle représente assez bien l’Espagne, celle de mon enfance et apparemment encore celle d’aujourd’hui. Avec les cours intérieures d’immeuble, le linge qui séche au vent, le bazar un peu organisé, les lignes des fenêtres et des balcons, l’ombre légère d’une toile tendue contre le soleil, et le bruit qui va avec… un brouhaha de voix qui crient, qui appellent… Ca me rappelle ma grand mère, ma tante, qui hurlait par le balcon pour discuter avec la voisine d’en bas. Ca me rappelle le balcon de l’appartement de mes grand parents, la “galeria” comme on l’appellait, où j’allais observer les chats par dizaine que le petit terrain vague qu’on voyait.

Photo prise avec mon fidèle Canon AE1, objectif de 50mm, sur film noir et blanc.

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Des larmes au rire

Je connais Sia depuis quelques années maintenant, “Colour the small one” a longtemps été unes de mes écoutes obsessionnelles. Je ne me suis jamais vraiment intéressée à la femme derrière ce nom un peu énigmatique, mais sa voix envoutante, puissante et ses chansons un peu tristes me renvoyaient l’image d’une personne plutôt torturé, pas triste mais assez mélancolique… Surtout que j’ai découvert la chanteuse avec cette bande annonce…

Pas franchement la série la plus gaie de la terre… Et quand on lit les paroles de certaines de ses chansons “It’s truly sad to see You suffering so immensel”, “I’m in the wars Can’t speak for crying Close all the doors Since I am dying” ou encore “We lose Yet we want to spare the feelings of those we love Don’t cry We’ve all lied”. D’une gaieté à toute épreuve donc…

Et pourtant.

Et pourtant en allant au concert Lundi soir, je m’attendais évidement à des moments intenses, à être impressionnée par sa voix, à être subjuguée et murmurer les paroles avec émotion. Il y a eu tout ça et il y a eu plus.

Parce que l’image que j’avais de Sia, ce n’était pas la bonne. Forcement je ne m’attendais pas à une entrée sur scène pareille.

Avec des costumes fluorescents de bonshommes comme dessinés sur Paint (à l’image de la pochette de son album) sur la musique de Rocky, elle a débarqué avec son groupe et a entamé directement le concert avec Buttons! Rien à voir avec la Sia que je m’imaginais, je suis restée bouche bée!

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Les photographies de Jena Ardell

Si vous avez envie de plage et de soleil, les photos de Jena Ardell sont là pour mettre un peu de chaleur sur notre peau ou plutôt devant nos yeux. Pas le genre de plage ou de soleil qu’on attend, paradisiaque et trop clinquante. Ses photos me donnent des envies de vacances parce qu’elles sont délicieusement passées, fanées, elles ont une lumière douce et qui me rappelle un rayon de soleil qui voilent les yeux.

Elle travaille uniquement au Polaroid, rien n’est retouchée, ça fait un bien fou de voir des photos brutes, j’irai même jusqu’à dire “vraies”. Sa devise est “Transporting you back in time”. Les 70’s sont de toute évidence une de ces sources d’inspiration. Jena a bien voulu répondre à 3 questions que je lui ai posé, je la laisse donc vous faire découvrir son univers ::

Why photography? // Pourquoi la photographie?
It’s always been photography. I’m a very visual and sentimental person. Even when I am not using a camera, my mind still works like a camera. When I see something — anything — my eyes immediately search for the most interesting or flattering angle. I’m sure a lot of photographers feel a similar compulsion. My love for photography primarily stems from me being a sentimental pack rat who feels a constant urgency to collect artifacts of the past and present in order to keep them alive. Photography is the only outlet that allows me to literally freeze time. I’m very much in love with being stuck in the past and I often wish I lived in another decade. I create retro photography because it allows myself and others to live in/relive the past.

Where does the inspiration come from? // D’où vient l’inspiration?
I find inspiration everywhere: between the hands of an old couple in a grocery store; in the deep imprint my head leaves on my pillow; among three balloons tangled in the branches of a city tree. I take pride in finding beauty in the natural composition of everyday objects. My eyes are inspired by so many things. I use a sketch book to keep track of all of my ideas. I absolutely love anything from the 1930s-1970s — old family photos, clothing, furniture, post cards, etc. I’m infatuated with old Hollywood movies and 1950s advertising. I love finding 1950s “Space Age” architecture and old hotels. And of course, I am inspired by the beach. Being near the ocean makes me feel complete. Usually an idea for a specific image will start with an object, location or person I want to use in the shot.

Any wishes, dreams? // Des envies, des rêves?
I would love for my work to be exhibited in more galleries. I also want to create fine art books; get commercial work; be published in national magazines; see my work being used for major ad campaigns; support myself and my family entirely by my photography; I want to do it all!! But most importantly, I want to own a little bungalow a block from the beach.

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Buzz, vide dressing et nostalgie

Pour commencer la semaine j’ai quelques news et des photos à vous faire partager.

D’abord il parait que ça buzz autour de mon blog. Morning by Foley figure dans le classement des Big Buzz Blog du Post.fr dans la catégorie “blogs féminins”. C’est plutôt chouette je dois dire, même si les classements… bon bref! J’ai fait une interview un peu pas drôle aussi :p

Ensuite le vide dressing a été mis à jour avec les articles vendues par une très très bonne amie à moi. Et ce n’est même pas qu’une simple amie, c’est Roomy, elle a été ma colocataire pendant mes 3 premières années à Paris! Et attention mesdames et messieurs, elle vend du gros, du lourd, de l’énoooooorme! Du Dior, du Antik Batik et de la jupette shiny trop cute! … Je suis trop une bonne vendeuse moi, je comprend pas pourquoi j’ai pas poursuivis dans cette voie après mon BTS! … Hum … Quand même, allez y jeter une œil ça vaut le coup, les prix sont riquiquis 😉

Et pour finir une séance nostalgie, sortez tous les Kodaks jetables, mes parents ont ressortis le Babyfoot de mon enfance! J’ai donc fait des parties enflammées toute la semaine avec mon neveu de 8 ans. Et aussi des parties du Monopoly des Simpsons. Nan franchement moi les Monopoly en Euros je m’y fais pas, il est où le méga billet de 50.000 Francs orange qui a trop la classe? A côté les pauvres 500€ ils font un poil pitié quand même, non? N’empêche que je me suis faite battre à plat de couture et ça c’est un peu la loose!

Et on finira sur des photos de fleu-fleures parce que depuis que je suis revenue à Paris, il pleut, il fait gris et je suis pas d’acccord. Let the sunshine un peu!