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Morceaux choisis

Quelques images au hasard de mon weekend Toulousain…

Ca c’est Turbo, il a l’air de beaucoup apprécier mes Repetto-like, des derbys en cuir tout souple de la marque Koah. Je les ai acheté dans une boutique très cool, Brock’roll au 16 rue Cujas, une petite rue pleine de boutiques indépendantes vraiment sympa. Très bon spot shopping pour trouver autre chose que les marques grand public.

La plafond du bar-restaurant Le comptoir de Bacchus, 5 place Rouaix. Très belle salle, tapas super bonnes et une terrasse où les places valent de l’or 😀

Photographie Voyages

Pas si rose

Toulouse

// Les maisons avec vue que les rives de la Garonne //

Le weekend dernier je suis enfin allée à Toulouse. Ça faisait plus d’un an que je devez y aller pour voir un joli garçon qui me manque toujours beaucoup quand je ne le vois pas pendant longtemps! Et puis le bonus c’est qu’il y avait un autre joli garçon à aller voir. Et même un chat. Décidément Toulouse c’est une ville pour moi!

En plus donc d’avoir passé un super séjour à flâner dans les boutiques, manger des trucs trop bons, chercher un Velô à travers toute la ville (le Velib de Toulouse c’est plutôt la Veloose -ahah jeu de mot quand tu nous tiens!), manger des magnums, boire des verres en terrasse, manger des quiches trop bonnes… J’ai beaucoup mangé ahem. Je disais donc en plus de tout ça, je suis tombée vraiment amoureuse de cette ville! Il faisait beau, les gens sont agréables, les petites rues sont tout simplement magnifiques et les boutiques très très cools (ils ont tout à Toulouse! Des tas de boutiques multi-marques qui distribuent des super griffes, en plus de toutes les marques du moment COS, Sandro, Kooples, Maje, Isabel Marant… Merde alors Bordeaux on est trop à la traine là!).

Toulouse

Ce qui m’a le plus impressionné c’est cette apparente simplicité, parfois un côté un peu délabré, peu entretenu des bâtiments. Côté que j’adore parce qu’il a un charme assez désué, mais quand on pousse les (souvent imposantes) portes de ces bicoques, on peut tomber sur des trésors! Des cours grandioses, où dominent la nature, les arbres et les fleurs. Où les gros pavés sont prolongés par de gigantesques tours moyenâgeuses. Les terrasses sur les toits ne sont visibles que d’en haut et nous donnez vraiment envie de détester les propriétaires des lieux. La diversité des architectures lui donnent dans certaines rues cet aspect un peu bordélique que j’adore.

// Dans une somptueuse cours intérieure //

Toulouse

J’aime voyager, j’aime découvrir des villes à l’étranger, être dépaysée. Finalement pas besoin de faire 12h d’avion pour se sentir dans une autre ambiance, Easyjet, 1h10 de vol, 70€ et hop vous voilà dans la ville rose qui offre plein de jolis endroits si on se donne l’opportunité de s’y perdre.

// Quelques façades qui m’ont tapé dans l’oeil //

Toulouse

Toulouse

Photographie

Le retour d’Alice

On film

Pendant le shooting des Alices, j’ai aussi pris des photos avec mon Canon argentique. Mais j’ai l’impression qu’il a un petit soucis, les 3-4 derniers pellicules que j’ai fait ont toutes donné des flares assez importants. Et plus ça va, plus ça s’aggrave. Pourtant ce n’est pas la même marques de pelloches et elles ne sont pas périmées. Ça doit bel et bien être mon appareil qui fait des siennes.

Du coup je n’ai pas pu en sauver beaucoup. J’adore ces petites défauts, ça fait le charme de l’argentique, on ne sait jamais ce que ça va donner au développement. Mais dans cette série, sur certaines ces “petits défauts” recouvrent presque toute la surface… 🙁 C’est plus problématique! Enfin voici quand même quelques clichés argentiques de notre session au pays des merveilles.

On film

On film
On film

Mode Photographie

Les Alices

alice+violette

J’ai passé dimanche dernier à courir après un lapin à robe bleue, à essayer de capter les sourires et les jolies robes de 4 joyeuses Alice qui se sont perdues dans un labyrinthe, au sommet des grandes marches qui menaient… à un château peut-être? Et finalement elles sont allées s’allonger dans l’herbe pour finir de rêver…

alice+violette

Le weekend dernier Chrystèle nous a toutes réunies, Diane, Sandra, Aline, Cily, Raphaëlle et moi, une jolie après midi au soleil pour un shooting (très largement) inspiréede l’univers d’Alice au pays des merveilles. Mon appareil photo argentique avec lequel j’ai également pris des photos semble avoir un gros soucis, peu d’entre elles sont exploitables, ce qui m’atriste beaucoup, je tiens énormément à ce appareil. Mais heureusement j’avais amené mon numérique aussi… J’espère quand même pouvoir vous montrer le résultat en argentique dans quelques jours!

alice+violette

Lifestyle

L’encre sous la peau

Bizarrement j’ai l’impression que le tatouage revient en force des derniers mois, entre les décalco’ Chanel et toutes les blogueuses dont je lis l’envie de passer à l’acte. Dans les années 90, il y a eu une sorte de libération du tattoo, toutes les minettes s’en faisaient faire autour de moi (je me compte parmi ces minettes d’ailleurs…), des elfes, des tête de tigre, des chtits mimi rigolo comme des perso de Disney. Le tatouage n’était plus réservé aux routards et aux hippies. Enfin c’était mon impression.

Et puis je pense que le règne du “vivez sainement” a commencé à pointé le bout de son nez. Attention vous allez être gros, faut arrêtez de manger McDo. Ohlala le déo en stick ça filent le cancer des nichons, faut se frotter les dessous de bras avec des pierres magiques. Et faites gaffe les téléphones portables ça envoie des ondes nocives dans le cerveau via le conduit des oreilles. Manger bio, ça rend beau (et pauvre). Je crois que le tattoo s’est un peu retrouver là dedans, genre faut faire gaffe à son corps, la peau, les infections, les cancers blablabla.

C’est pas faux ceci dit, un tatouage c’est pour la vie (originalité quand tu nous tiens), ça fait mal, et si c’est pas bien fait on risque au mieux de se retrouver avec un truc moche, au pire la septicémie et la mort (oui oui je dramatise peut-être, ya des légendes urbaines qui circulent, mais d’autres qui malheureusement ne le sont pas, des légendes). Et si vous voulez le faire enlever, vous allez en chier. Je le sais, j’ai demandé à ma dermato pas plus tard qu’avant hier. Innocemment, je suis arrivée en demandant “Heeeey si j’me fais épiler au laser, est-ce que ça peut m’effacer le tatouage que j’ai sur la cheville? Hop hop 2 en 1!” Bah non ma cocotte t’as rien compris! Un, c’est pas la même machine, deux, c’est pas si simple que ça. Pour retirer un tatouage, il faut visiblement beaucoup de temps, suivant la taille, les couleurs et la profondeur des pigments. C’est très douloureux (plus que le tatouage lui même d’après elle), ça prend du temps (jusqu’à 10 séances, espacées en moyenne de 1 à 2 mois), ça saigne, ça fait des croûtes (yammy), faut faire des pansements, les renouveler (d’où les 1 à 2 mois, faut attendre que ça cicatrise), pas se baigner, exposer au soleil et tout l’toutime bien sûr. Bref t’en as pour au moins 1 an de ce bordel. Pour même pas être sûr que ça le retire complétement et que ça laisse pas des traces, suivant ton type de peau.

Bref.

Je ne ferais pas enlever mon tattoo.